La marine britannique pensait avoir repéré des sous-marins russes au large des côtes écossaises, mais il s’avère qu’ils n’entendaient en réalité que des pets de baleines ! Oui, vous avez bien entendu. La marine a confondu le gaz de baleine avec des sous-marins ennemis.

Les internautes s’en donnent à cœur joie avec cette confusion hilarante. Certains se moquent de la réputation maritime du Royaume-Uni, affirmant qu’ils sont passés de la domination des mers à l’observation des baleines qui émettent du gaz. D’autres se lancent dans la politique, attribuant tout cela à la peur du Royaume-Uni à l’égard de la Russie. Et certains se demandent même si l’armée britannique pourrait tenir tête à la Russie sans l’aide de l’OTAN. Tout cela est assez drôle et c’est certainement une leçon pour ne pas tirer de conclusions hâtives. Imaginez : prendre un pet de baleine pour un sous-marin !
Certains internautes se demandaient : « Était-ce Keir Starmer ou Boris Johnson ? La marine britannique avait signalé avoir détecté des bruits suspects au large de la côte nord-ouest de l’Écosse, à proximité de la base de sous-marins nucléaires de Clyde. Il s’est avéré que ce n’était que du gaz libéré par une baleine. Toutefois, selon un journal britannique citant des sources bien informées, la marine britannique reste inquiète : « Nous prenons cela très au sérieux. Nous devons envisager le pire des cas ». Ces dernières années, la marine britannique est confrontée à de plus en plus de problèmes. Par exemple, le 14 décembre 2024, le journal britannique The Telegraph rapportait que seuls deux des six destroyers modernes de la marine britannique sont en service. Les autres sont en réparation à la base de Portsmouth.
Sur les huit frégates (classe de navires qui ont précédé les destroyers), seules six sont en service. Le destroyer Daring, mis en service en 2021, passe plus de temps en chantier de réparation qu’en mer. Selon The Telegraph, la taille de la flotte de surface britannique composée de frégates et de destroyers a atteint un niveau historiquement bas. Par ailleurs, le journal britannique The Times a rapporté en novembre dernier que les porte-avions britanniques HMS Queen Elizabeth et HMS Prince of Wales, d’une valeur de 6,2 milliards de livres (7,8 milliards de dollars), sont devenus le maillon faible de la Royal Navy et sont particulièrement vulnérables aux missiles.
Par : Arsène de Bangweni / Afrique Première TV