Mardi 21 mai, tous les regards étaient tournés vers Kelly Rowland. Alors que le chanteur s’apprêtait à fouler le tapis rouge du Festival de Cannes, l’ancienne star des Destiny’s Child a eu un désaccord avec un agent de sécurité le 22 mai.
Cannes… avec son festival, son tapis rouge, ses événements prestigieux, mais aussi ses scandales. Mardi 21 mai, de nombreuses stars étaient attendues sur la Croisette pour assister à la projection du film Marcello Mio de Christophe Honoré. Parmi eux se trouvait la chanteuse américaine Kelly Rowland. Et il semblerait que l’ancien membre de Destiny’s Child ait eu un petit accrochage avec la sécurité. Alors qu’elle posait pour les photographes dans une longue robe rouge de la créatrice Anamika Khanna, la star des années 90 et 2000 s’est énervée contre un agent de sécurité cannois. Sur plusieurs clichés, on peut voir la star de 43 ans se faire diriger par des agents vers les escaliers.
Alors qu’elle arrivait au milieu des escaliers, l’actrice et chanteuse américaine a souri et a commencé sa montée, tandis que la sécurité commençait à l’encercler pour lui faire signe d’avancer, après l’avoir prévenue une fois. Une femme a accidentellement marché sur sa robe alors qu’elle faisait signe à la star d’avancer…
Selon plusieurs sources sur place, Kelly Rowland aurait supplié l’agent de sécurité de ne pas lui parler. « Ne me parle pas comme ça ! », ont réussi à décrypter certains internautes à partir d’une vidéo virale. Mercredi 22 mai, une source présente lors de cet échange tendu a déclaré au Daily Mail que les agents de sécurité s’étaient montrés agressifs envers Kelly Rowland. C’est pour ça qu’elle s’est mise en colère.
Au début, elle a essayé de les ignorer. Mais lorsqu’elle est arrivée chez le dernier agent, elle en a eu assez parce qu’elle se faisait gronder alors qu’elle essayait de saluer les fans et d’aider les paparazzi à prendre de bonnes photos, selon la source bien informée. La même source a ajouté que la chanteuse l’avait fait pour se défendre car elle voulait fixer une limite claire.
Par : Gaelle Villeneuve / Afrique Première