Orano est dans le bourbier depuis le début des réformes minières des nouvelles autorités nigériennes.

Spread the love
Photo d’un manifestant nigérien, sollicitant la réforme du code minier du Niger.

Mais cette année, les choses ne vont pas bien. Le changement de paradigme des nouvelles autorités du Niger, qui ont décidé en juin de rompre ses liens avec la société de la mine d’Imouraren. Cette mine est la plus grande au monde avec des réserves estimées à 200 000 tonnes.

Mais ce n’est pas tout, la Somair, filiale détenue à 63% par Orano et qui exploite l’uranium d’Arlit, au nord du Niger, peine à exporter sa production. Le gouvernement de transition de Niamey impose une interdiction depuis un an.

Face à ces défis, l’entreprise a dû vendre sa production d’uranium, initialement destinée à financer la fermeture du site.

Cela montre que depuis le coup d’État qui a renversé l’ancien président Mohamed Bazoum il y a un an, Orano, détenue à 90% par l’État français, est confrontée à des difficultés majeures au Niger.

Par : Haby Coulibaly /Afrique Première Tv

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *