Pâque 2024, le message pontifical axé sur la fin des conflits armés à travers le monde

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Le pape François a renouvelé dimanche 31 mars son appel à la libération des otages israéliens et à un cessez-le-feu immédiat à Gaza, alors qu’un nouveau cycle de négociations pour une trêve entre Israël et le Hamas s’apprête à débuter.

« J’appelle une fois de plus à ce que l’accès de l’aide humanitaire à Gaza soit garanti, en appelant à la libération rapide des otages pris le 7 octobre, ainsi qu’à un cessez-le-feu immédiat », a déclaré le jésuite argentin dans son message de Pâques au Vatican.

En jetant un regard large sur les conflits à travers le monde, le pontife a également exhorté à ne pas céder à la logique des armes.

Ne laissons pas la violence continuer à faire du mal aux gens innocents, surtout aux enfants. Ils sont fatigués et effrayés par tout ce qui se passe. Ils se demandent pourquoi il y a tant de morts et de destruction. La guerre est toujours une mauvaise idée et tout le monde en sort perdant. Ne laissons pas la guerre se propager en Europe et autour de la Méditerranée. Ne pensons pas que les armes et la violence sont la solution. Le pape a raison, il est temps de trouver la paix.

Dans de nombreux pays du monde, du Moyen-Orient (Liban, Syrie) à l’Afrique (Soudan, Mozambique et République démocratique du Congo) en passant par Haïti, le Myanmar et le dialogue entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, Jorge Bergoglio a discuté de divers conflits qui se déroulent dans le monde. .

Alors qu’un nouveau cycle de négociations est sur le point de commencer pour un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, il a appelé à la libération des otages israéliens et à un cessez-le-feu immédiat à Gaza.

Le pape François a exhorté les dirigeants politiques à travailler sans relâche pour lutter contre la traite des êtres humains, en démantelant les réseaux d’exploitation et en libérant les victimes de ce terrible crime.

Le pape, âgé de 87 ans, a également appelé à un échange général de tous les prisonniers entre la Russie et l’Ukraine, une déclaration saluée par les 60 000 fidèles rassemblés place Saint-Pierre.

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